Bondage, domination, sadomasochisme …

Depuis la sortie du film « 50 nuances de gris », on ne parle plus que de ça des relation BDSM ; ce qu’on a vu dans ce film semble être la version soft de cette pratique et sachez qu’il s’agit d’un monde bien à part dans le monde de la pratique sexuelle. On a également la dominatrice toulouse qui pourra vous parlez de ces expériences en matière de domination sexuelle.

Est-ce que le BDSM est une orientation sexuelle en elle-même ?

Le mode BDSM est une pratique sexuelle flexible c’est-à- dire qu’il s’agit d’une mode vie : ceux qui font cette pratique peuvent se réveiller un jour et dire qu’ils ont envie d’une vie sexuelle normale si cela existe vraiment car seul une petite partie de ceux qui aiment cette pratique ne peuvent pas faire l’amour sans passer par le sadomasochisme, le reste peut à moment ou à un autre s’en passer. Selon les novices le BDSM est dangereux et c’est sans compter sur les amateurs, tout dépend en fait de ce que l’on fait : car par exemple une flagellation est dangereux si l’on ne sait pas s’y prendre correctement, mais il y en a encore d’autres comme le jeu du piercing, le jeu des flammes ou encore les jeux avec l’électricité où il faut prendre des précautions pour que cela ne dérapent pas. Bien souvent les personnes qui ne font pas attention, il est très fréquent qu’il se retrouve à l’hôpital.

D’aucun diront que cette pratique ne nuit pas la santé mentale, si l’on connait à l’avance quels sont les limites à ne pas dépasser que cela ne dépasse pas le cadre du jeu sexuel. Comme toutes chose, il faut savoir fixer des limites comme par exemple qu’en dehors du cadre, le BDSM n’a plus lieux d’être. C’est cette frontière qui fait que cela nuit ou non à la santé mentale de celui qui le pratique. Fixer donc des limites !

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